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«Devenir la 1ère école de management de l’Afrique francophone»

par La Rédaction
27 décembre 2015
En Actualités, Éducation, Management

L’évolution de BEM-Dakar, de ses débuts à aujourd’hui, ses forces et atouts, la place de l’innovation dans ses stratégies. Docteur Pape Madické Diop,  PDG fondateur de BEM-Dakar, explique tout en détails.


madicke bemPouvez-vous revenir sur l’évolution de BEM-Dakar de ses débuts à aujourd’hui ?

BEM est une Grande Ecole de Management, qui est née ici à Dakar en 2008 à l’initiative  de  la Chambre de Commerce et d’Industrie de Bordeaux et de ce qui s’appelait, alors, l’Ecole Supérieure de Commerce de Bordeaux (née en 1874 et membre-fondateur de la Conférence des Grandes Ecoles de France), devenue Bordeaux Management School et aujourd’hui Kedge Business School.  Ensemble, nous avons eu l’idée de créer cette école, ici au Sénégal, pour donner une opportunité aux jeunes Africains de suivre les enseignements d’une grande école de Management qui réponde aux standards internationaux.

BEM-Dakar est donc une jeune école, mais c’est une institution qui s’est imposée très vite dans le paysage éducatif sénégalais et africain. Aujourd’hui, nous avons 900 étudiants répartis entre la formation initiale et la formation continue. Nous avons plus de 20 nationalités, un corps professoral de grande qualité, composé de professeurs africains et internationaux.

C’est une école avec des diplômes reconnus et accrédités aux plans national et international, par la DGES, l’ANAQ-Sup, le CAMES, mais aussi par les instances européennes et américaines, comme EQUIS et AASCB.

Pour le futur, nos ambitions sont encore plus grandes et plus fortes. Demain, nous nous imposerons comme «meilleure école africaine de Management».

Qu’est-ce qui a fait votre force jusque-là?

Nous nous sommes appuyés sur plusieurs impératifs et leviers. D’abord, sur la nécessité d’intégrer de bons étudiants, des étudiants sélectionnés à partir d’un vrai concours. Le 2ème impératif, c’est le recrutement d’un corps professoral international de grande qualité, capable de porter une pédagogie éprouvée et une recherche exigeante. Le 3ème impératif, c’est l’innovation permanente. Nous avons, depuis la création, développé des programmes innovants et différenciants ; nous sommes reconnus pour cela. Le 4ème levier, c’est la mobilisation et l’implication de collaborateurs exigeants et exemplaires ; des collaborateurs  talentueux et dévoués qui ne comptent pas leurs journées pour faire de cette école, ce qu’elle est aujourd’hui. Le 5ème levier réside dans la permanence et la profondeur de nos liens avec les entreprises. Et enfin, nous avons établi une relation de confiance avec les parents d’élèves et les autorités publiques ; cette relation est assise sur notre attachement viscéral à notre statut de délégataires d’une mission de service public ou d’intérêt public et notre engagement constant à tenir nos promesses.

Quelles sont les innovations de cette année ?

BEM est la seule qui amène tous ses étudiants en mobilité académique internationale. C’est un impératif, pour nous ; cela fait partie de l’ADN de BEM-Dakar. Et cette année, nous sommes allés encore plus loin en élargissant et renforçant notre dispositif de mobilité. Tous les étudiants de BEM, quel que soit leur parcours, partent en mobilité en Chine, aux Etats-Unis, en France, au Ghana, en Afrique du Sud…

Aujourd’hui, les étudiants qui le souhaitent ont la possibilité de faire 2 années ici et partir pour 2 années à KEDGE-Marseille, dans le cadre d’un cursus double diplôme.

Toujours dans les innovations, il y a naturellement les programmes différenciants que nous mettons sur le marché. Cette année, nous avons lancé, avec l’IAE de Lyon, le Master de Management des Industries Pharmaceutiques et des Technologies Médicales. Ce Master est une première dans l’espace africain.

En partenariat  avec l’Ecole Supérieure Internationale de Savignac, nous avons également créé l’Institut THELMA, une grande école de Luxury et Hospitality Management ; elle propose aux jeunes africains, sur un parcours de 3 ans, d’obtenir le prestigieux Bachelor en Management Hôtelier, Marketing du Luxe et Développement Touristique ; c’est une innovation majeure en Afrique noire francophone.

Les objectifs dans le court et moyen termes ?

Depuis le début, nous n’avons qu’une seule ambition : être la 1ère école de Management, pas seulement de l’espace UEMOA, mais de toute l’Afrique francophone ; pas la 1ère école en termes d’effectifs, mais la 1ère école par sa pédagogie innovante, la proximité de son encadrement, la qualité de ses étudiants et de son corps professoral, son ouverture au monde et la densité de ses liens avec l’entreprise. Une école consciente de sa responsabilité et obsédée par son devoir d’exigence et d’exemplarité.

 Beaucoup estiment que la formation de qualité est assez chère au Sénégal. Qu’en pensez-vous ?

Probablement oui ! En tout cas, nous sommes réputés être une école avec un niveau de prix relativement élevé. Mais, il n’est pas significatif hors de notre espace géographique. A diplôme égal, ce que paie un étudiant à BEM-Dakar est infiniment plus petit que ce qui est payé à Bordeaux, alors même  que nous sommes dans la même communauté. Un étudiant, inscrit en Bachelor à Bordeaux ou à Marseille, payera au minimum 8 000 euros l’année pour les frais de scolarité seulement. Nous offrons aux jeunes Africains la possibilité de suivre, ici,  la même formation et d’obtenir les mêmes diplômes avec un niveau de prix inférieur. Au Sénégal, les frais de scolarité, c’est entre 2 et 3 millions. Dans un environnement comme le nôtre, cela peut être perçu comme cher, mais la formation de qualité a un coût. Le prix fixé n’a jamais bougé depuis 2008. Loin d’être une contrepartie, c’est la légitime contribution  à l’excellence de la formation que nous offrons.

Beaucoup expliquent le sous-emploi par l’inadéquation formation/ emploi. Comment faites-vous pour y remédier ?

Nous avons une grande expérience de l’enseignement et également de l’environnement des entreprises. Mes collaborateurs et moi avons une vision très claire du monde de l’entreprise, de l’emploi et des problématiques de l’offre et de la demande dans nos marchés. C’est pourquoi, nous proposons des filières totalement innovantes à des effectifs d’étudiants réduits. Beaucoup de nos étudiants, qui partent à Bordeaux, par exemple, se spécialisent dans des filières comme la Supply Chain, ou le Risk Management, des filières quasi-inexistantes dans notre environnement. Même dans les domaines classiques, comme la Finance ou le Marketing, nous mettons sur le marché  des étudiants installés dans le temps du monde et donc capables de s’insérer ou d’entreprendre rapidement à Dakar, Abidjan, Douala, Libreville, Paris, Shanghai ou New York.

Notre obsession de la différentiation nous impose de proposer des programmes innovants qui, aujourd’hui et demain, permettent à l’étudiant de trouver un emploi ou de créer sa propre entreprise. Parce que la finalité, tout de même, c’est de permettre aux étudiants, à leur sortie, d’avoir un statut et une dignité ; et de plus en plus, c’est le travail qui les donne.

Quid de ceux qui ont le potentiel, mais pas les moyens de payer la scolarité ?

Nous offrons des bourses à des étudiants qui, sans notre soutien, n’auraient pas l’occasion de mettre en valeur leur talent. Nous ne pouvons pas laisser, au bord du chemin, des étudiants brillants mais qui, en raison du handicap de leurs origines sociales, n’ont pas la chance d’accéder à une école comme la nôtre. Nous les soutenons pour qu’ils puissent réaliser leurs rêves. C’est pourquoi, nous avons mis en place la «Fondation BEM pour l’égalité des chances». Nos moyens sont limités mais nous essayons. Nous sommes donc profondément reconnaissants au cabinet français OKAN Consulting qui soutient notre initiative en accordant 4 bourses aux étudiants éligibles.

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