La Chine est en perpétuelle recherche en ce qui concerne les méthodes pour contrôler et maîtriser des contenus accessibles en ligne. Dimanche, le gouvernement a sorti de nouvelles mesures dans cette perspective.
Il faut désormais aux entreprises étrangères souhaitant diffuser des vidéos, des audios, des textes ou photos demander une dérogation à Administration d’État de la Presse. Quant aux collectivités locales, elles ont pour mission de surveiller les éditeurs en ligne pour s’assurer qu’ils ne contreviennent pas aux règles en vigueur.
Toutes ces nouvelles mesures sorties dimanche dernier par le gouvernement chinois, visent surtout les entreprises dédiées au milieu du sport et du divertissement les sociétés étrangères ne seraient donc plus autorisées à divulguer directement les œuvres, dans l’internet consultable en Chine.
« La surveillance d’internet fait maintenant partie des efforts liés à la sécurité nationale. En tant que tel, maintenir un contrôle sur ce qui est publié en ligne est devenu une politique étatique », a expliqué Fu King-wa, professeur agrégé en journalisme, à l’Université de Hong-Kong.
Face à l’hégémonie américaine et européenne et une concurrence ardue entre Etats, la Chine essaye de préserver ses cultures et sa vision du monde et ne souhaite pas être phagocyter par une mondialisation débridée. Certains vont l’appeler dictature et fermeture tandis que d’autres l’appelleront souveraineté.
Crédit-photo: luxuo.fr
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