Cette déclaration du ministre en charge de la pêche est consécutive à l’avertissement de l’Union européenne (UE) qui dénonçait des insuffisances dans le respect des accords concernant la lutte contre la pêche illégale.
Mais Madame Fatou Diouf rassure en affirmant que le gouvernement du Sénégal s’est engagé à résorber ces manquements notamment en améliorant la traçabilité des poissons exportés et en renforçant la transparence du secteur.
Le Sénégal dispose actuellement d’un délai de huit mois pour se conformer à certaines exigences fixées par l’UE. Ce délai est essentiel pour que le pays puisse renforcer son système de surveillance de la pêche et répondre aux préoccupations soulevées par Bruxelles.
La ministre sénégalaise annonce « des réformes vue les enjeux liés à la pêche illégale » et réaffirme la détermination du pays à travailler de manière collaborative avec ses partenaires pour préserver ses ressources maritimes tout en soutenant la sécurité alimentaire et le développement économique. »
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