Il intervenait, jeudi à Dakar, à l’ouverture de l’atelier sur la transparence budgétaire en Afrique francophone
Selon lui, cette évaluation s’appuie sur les normes et pratiques définies par le Code de la transparence des finances publiques du FMI adopté en 2014. Elle a ainsi permis de placer le Sénégal dans la moyenne des Etats de niveau de revenu et de capacités institutionnelles similaires.
Les résultats de cette évaluation seront présentés au cours de cet atelier de deux jours
Au niveau de l’espace UEMOA, c’est bien la directive 01/2009 portant Code de transparence dans la gestion des finances publiques, communément appelée directive mère du cadre juridique, que le Sénégal a transposée depuis 2012 dans son droit positif interne, qui fixe les règles et principes d’une gestion transparente des deniers et affaires publics, a-t-il rappelé. ‘’’Comme vous le savez, le défi de la transparence budgétaire résulte d’une manière générale, d’une demande sociale pressante et permanente du citoyen – usager du service public’’, a indiqué M Amadou Ba.
Il a en outre rappelé que les évolutions positives des scores obtenus par le Sénégal par rapport aux bonnes pratiques en matière de transparence budgétaire résultent d’une volonté du gouvernement, de voir régulièrement, ses systèmes se prêter aux exercices d’évaluation de leurs performances.
En effet, depuis 2002, c’est environ, une dizaine de revues qui a été conduite parmi lesquelles l’évaluation du FMI au mois de novembre 2018 sur l’efficacité de la gestion de l’investissement public national (PIMA).
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