« L’Afrique doit s’attaquer d’urgence à la question de la crise de liquidité, en prenant conscience de son effet multiplicateur pour soutenir le profil de risque des pays et renforcer la crédibilité de ces derniers », ont-ils retenu à l’issue des débats.
La Table ronde de haut niveau était axée sur » le déblocage de financements pour mieux construire l’avenir après la maladie à coronavirus (COVID-19) et accélérer la réalisation du développement durable en Afrique ». Y ont pris part, la Secrétaire générale adjointe de l’ONU et Secrétaire exécutive, Mme Vera Songwe, la ministre rwandaise des TIC et de l’innovation, Mme Paula Ingabiré et le Directeur général de la Banque de technologies pour les pays les moins avancés, Joshua Setipa
Les participants ont en outre souligné que les gouvernements doivent devenir des facilitateurs, et non des concurrents, en créant un environnement propice au secteur privé. À cette fin, il est essentiel de donner des moyens au secteur privé, le but étant de permettre à l’Afrique de prendre en charge son développement.
Ils ont aussi invité les gouvernements africains à entreprendre des réformes solides sur les marchés intérieurs afin de stimuler le développement du secteur privé et l’accès au financement de manière inclusive.
Au cours des débats les participants ont fait observer que le rythme du redressement des pays après la pandémie de COVID-19 avait été déterminé par leurs résultats macroéconomiques avant la pandémie.
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