L’Afrique des Idées va tenir sa conférence annuelle le 4 juin à l’Université Paris-Dauphine, qui abrite le laboratoire de recherche sur le développement DIAL, un des partenaires traditionnels du think-tank, aux côtés de l’École d’Économie de Paris.
Rendez-vous annuel ouvert aux jeunes de la diaspora, la conférence annuelle du think-tank l’Afrique des Idées est un événement attendu. Pour cette année, elle se penchera sur la problématique du financement du développement, qui se pose toujours avec autant d’acuité au vu des plans d’émergence lancés par quelques pays africains.
Dans un contexte où les pays africains sont en train de voir leurs secteurs économiques se structurer petit à petit comme l’a constaté Nicolas Simel Ndiaye Président de L’Afrique des Idées, il est urgent de voir comment mobiliser davantage les ressources fiscales sans réduire la compétitivité des entreprises surtout au moment où l’aide au développement devient insuffisante.
Le groupe de réflexion qui encourage les mesures prises par certains Etats afin de promouvoir l’entrepreneuriat souhaite voir ces Etats aller davantage vers les financements alternatifs.
« Quels sont les moyens de financement innovants que les États africains peuvent mettre en place pour accélérer le progrès économique ? » s’est posé comme question Nicolas S. Ndiaye pour mettre en évidence ce qui sera au coeur des discussions de Paris.
A cette occasion , sera dévoiler la dernière étude réalisée par le groupe de réflexion sur la fiscalité en Afrique et ses recommandations pour la réformer.
L’Afrique des Idées a pour vocation de « mener » des analyses et « d’élaborer » des propositions novatrices sur des sujets économiques, politiques et culturels liés à l’Afrique, se penchera sur la problématique du financement du développement, qui se pose toujours avec autant d’acuité au vu des plans d’émergence lancés par quelques pays africains.
A en croire le Président Ndiaye, le souhait du club de réflexion est de rassembler la diaspora dés l’année prochaine sur le continent.
« Notre plus grand souhait est de rassembler la diaspora dès l’année à Dakar, Lomé, Cotonou ou même Ndjamena où nos membres participent déjà activement à la vie de la société civile. » a t-il fait savoir
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