Elle intervenait lors d’une table ronde virtuelle organisée en prélude à la septième session du Forum régional africain pour le développement durable (ARFSD2021, en anglais), prévue du 1er au 4 Mars à Brazzaville (Congo). L’évènement se tiendra sous l’égide de la Commission économique pour l’Afrique CEA).
Pour Mme Pamela Coke-Hamilton, « les gouvernements africains doivent être encouragés à soutenir d’urgence les activités économiques ».
La nécessité de dépenser plus dans une série de mesures de santé publique a entrainé le ralentissement des activités économiques de la plupart des pays africains, explique le Chef de la Division de l’apprentissage en ligne et de la gestion des connaissances de l’Institut de développement et de planification économique (IDEP).
Thierry Amoussougbo affirme à ce propos, que « la pandémie de Covid-19 a encore aggravé la situation de la dette ».
La table ronde avait pour thème, « Atelier préparatoire et de renforcement des capacités pour les grands groupes et autres parties prenantes de la région Afrique : Mieux avancer sur la gestion de la dette ».
L’objectif de cet évènement parallèle était de discuter de l’impact du moratoire de la dette sur l’accès des économies africaines aux marchés des capitaux.
Il s’agira d’évaluer à quel niveau l’annulation / la gestion de la dette exige des politiques fiscales plus fortes afin d’augmenter les ressources de financement pour le développement.
La table ronde devra proposer des recommandations spécifiques afin de répondre au besoin d’espace budgétaire pour financer les politiques de développement conformément au programme de développement à l’horizon 2030.
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