L’aéroport international Dakar Blaise Diagne bénéficie d’une excellente réputation due à la qualité des installations et à son niveau de service élevé. Peu de pays peuvent se féliciter de la mise en service d’une nouvelle plateforme entièrement conçue pour le développement et le rayonnement du pays. Il s’agit d’une installation futuriste et extrêmement bien pensée pour pouvoir assurer son extension et son développement. Elle est résolument tournée vers un accueil des compagnies et passagers en leur offrant un niveau de qualité de service élevé.
Par ailleurs l’architecture est novatrice, les équipements sont de très bonne qualité, comme les matériaux utilisés, constate avec plaisir Xavier Mary, le directeur de LIMAK-AIBD-SUMMA (LAS), gestionnaire de l’aéroport. « Après moins d’une année de préparation, le groupe LAS a réussi sa mise en service le 7 décembre 2017 avec un transfert des activités de l’ancien aéroport en une journée et cela sans perturbation dans le ciel africain. C’est le fruit d’une formidable aventure humaine qui a pu être réalisée avec le concours de l’ensemble des partenaires impliqués dans le projet et avec les employés de l’ancien aéroport qui ont été transférés à LAS », déclare-t-il.
A l’en croire, l’aéroport Blaise Diagne dispose de tous les atouts pour le futur. Son ambition est de faire grandir la plateforme en développant le trafic dans un premier temps, mais aussi en offrant de nouveaux services à nos clients, aux compagnies aériennes tout comme les passagers.
Air Sénégal s’inscrit logiquement dans cette dynamique qui rejoint les objectifs du Plan Sénégal Émergent (PSE). « C’est le fruit d’une stratégie bien pensée, réfléchie et rationnelle du gouvernement et du Président de la République. Ce n’est pas une lubie, le PSE s’inscrit sur des bases solides et une stratégie extrêmement volontariste. Les bases d’une économie qui se développe, c’est d’abord la circulation des biens et personnes. Et quand vous regardez de près ce qu’a initié le chef de l’Etat, il y a une démarche très cohérente car vous avez le vecteur routier, le vecteur maritime, le vecteur ferroviaire et enfin le vecteur aérien qui s’appuie sur deux piliers que sont l’AIBD et la compagnie nationale Air Sénégal. Participer à la réalisation de cette ambition constitue donc un challenge passionnant », confie Phillippe Bohn, son Directeur Général.
Son vœu le plus cher est de voir Air Sénégal figurer parmi les meilleures compagnies d’Afrique. « C’est cela notre volonté et notre plus grande ambition. Notre objectif a toujours été de hisser haut et loin le drapeau du Sénégal. C’est pourquoi, nous accordons une très grande importance au respect des normes et règles en vigueur dans l’industrie de l’aérien. Il peut y avoir, à un certain niveau, de l’impatience mais nous visons le long terme. Pour y arriver, nous avons le soutien de l’Etat qui ne ménage aucun effort pour le succès d’Air Sénégal », poursuit-il.
Aujourd’hui, Air Sénégal opère sur Ziguinchor et Abidjan, où il a noué un partenariat avec Air Côte d’Ivoire, qui lui apporte un véritable soutien puisqu’ayant récupéré le vol du matin. Cela fonctionne bien avec des taux de remplissage très satisfaisants. Très prochainement, d’autres ouvertures de ligne sont prévues notamment Ouagadougou, Cotonou et Bamako. Dans un avenir très proche, Air Sénégal compte couvrir une bonne partie de l’Afrique et les grandes routes sur l’intercontinental.
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