M. Ndir a informé que « les majors du BPT sénégalais, comme la Compagnie sahélienne d’entreprises (CSE), le Consortium d’entreprises (CDE) et Eiffage occupent le trio de tête pour la dette que l’État doit payer aux entreprises privées. Après s’être un temps « effacée », cette dette s’est aujourd’hui « reconstituée » », a-t-il déploré, selon pressafrik.
Le nouveau président du SPEBTP appelle à l’effacement de cette dette et au renforcement du secteur national pour conforter sa contribution au développement du pays. Il a rappelé que « le secteur du BTP emploie entre 500 et 600 mille personnes ». « C’est la clé pour répondre à la problématique du chômage des jeunes » a-t-il soutenu.
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