Dans un communique de presse en date du mercredi 16 Aout, la Bceao estime que cette information est une « interprétation erronée du fonctionnement des guichets à travers lesquels la Banque Centrale accorde des ressources aux banques de l’Union ».
« En effet, les montants indiqués par ce média ne correspondent pas à de nouvelles injections de liquidités », souligne le communiqué, précisant qu’ «il s’agit plutôt de reconductions d’encours de créances de la Banque Centrale, d’échéances hebdomadaire et mensuelle, sur les banques du Niger, qui existaient avant la prise des sanctions. Ces reconductions n’entraînent donc pas de nouvelles injections de liquidités ».
Le Niger a connu un putsch le 26 juillet dernier. Une situation à l’origine de la décision de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) d’imposer de sévères sanctions économiques contre ce pays.
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