Sur une base annuelle, le parc mobile s’est renforcé de 5,3% à fin mars 2019, selon la note de conjoncture de la Dpee du premier trimestre 2019.
Pour sa part, le volume cumulé des communications émises est ressorti à 6,1 milliards de minutes au cours du trimestre sous revue, contre 5,8 milliards un trimestre plus tôt, soit un raffermissement de 5,2%.
Par rapport à fin mars 2018, le volume cumulé des communications du segment mobile est en progression de 6,0%. S’agissant du trafic de messages texte (SMS), 880,6 millions d’unités ont été émises au premier trimestre de 2019, en baisse trimestrielle de 0,3%.
En glissement annuel, une hausse de 21,5% du nombre de messages texte est enregistrée au premier trimestre de 2019. Au final, le taux de pénétration de la téléphonie mobile est estimé 106,9% à fin mars 2019.
Concernant la téléphonie fixe, le parc global de lignes a encore augmenté (+1,3%) en variation trimestrielle pour se situer à 306 231 lignes à fin mars 2019. Cette évolution est attribuable aux parcs respectifs de lignes résidentielles (+2%) et professionnelles (+0,7%).
Sur un an, le parc de lignes fixes a augmenté de 5,8% au premier trimestre de 2019. En outre, le taux de pénétration sur ce segment de marché s’est établi à 1,9% à fin mars 2019.
Quant au parc global du marché de l’internet, il compte 10 636 683 lignes à fin mars 2019, en accroissement de 1,0% par rapport à fin décembre 2018.
Les utilisateurs de l’internet mobile 2G/3G/4G représentent 97,6% du parc internet au 31 mars 2019. En glissement annuel, un raffermissement de 5,5% du parc de l’internet est enregistré à la fin du premier trimestre 2019, positionnant le taux de pénétration sur ce segment de marché à 67,6%.
Par rapport au quatrième trimestre 2018, les activités financières et d’assurances se sont consolidées au premier trimestre 2019, de 1,6% en variation trimestrielle et 3,6% en glissement annuel.
Ces évolutions sont en phase avec celle du crédit bancaire à l’économie (+3,6% en glissement annuel. Ces évolutions sont en phase avec celle du crédit bancaire à l’économie (+3,6% en glissement annuel).
Sur la période récente, le ralentissement des services financiers est, en partie, lié à l’adoption d’un nouveau Plan Comptable Bancaire (PCB).
Par ailleurs, le renforcement du capital des banques pour répondre aux exigences des conventions de Bâle a amoindri les efforts de financement bancaire du secteur productif.
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