« Si les entreprises s’approprient la zone de libre-échange continental africain et posent sur la table les contraintes auxquelles elles sont confrontées, ça peut nous permettre d’aller à un plus haut niveau pour que les contraintes soient levées » a dit Mme Diatta.
Elle ajoute : « Nous pourrons ainsi affronter la concurrence sur notre marché mais également aller avec ces entreprises à la conquête de nouveaux marchés sur le continent africain. Cette zone de libre échange est extrêmement importante d’autant plus que même si le taux est faible (15%), 43% de nos échanges sur le continent africain sont constitués de produits manufacturés ».
Selon Mme Diatta, « il serait important d’explorer le marché africain. Comme nous ambitionnons de nous industrialiser et de créer de l’emploi pour notre jeunesse, les entreprises sont les mieux outillées pour le faire ».
Aminata Assome Diatta dit être « satisfaite » et animée « d’un sentiment très positif » après avoir constaté que les entreprises qui avaient émis quelques inquiétudes sont aujourd’hui très intéressées par la ZLECA.
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