Cependant, au rythme actuel des dépenses publiques, y compris l’aide des partenaires extérieurs, les ressources mobilisables par ces pays ne peuvent franchir la barre des 1400 milliards de dollars. Le gap à combler est donc de 1000 milliards dollars. Ce qui constitue une opportunité pour le secteur privé international, qui peut y trouver une opportunité de placement rentable.
Sur ce marché, on retrouve déjà de grands noms du secteur international des infrastructures comme l’américain Général Electric, les français Bouygues et Bolloré, et la China Railways Construction Corp. Mais le plus souvent, ces groupes interviennent en qualité d’opérateurs sur des infrastructures dont les investisseurs finaux sont les gouvernements des pays concernés.
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