Dans un communiqué, le ministère de tutelle affirme que la mise en œuvre de stratégies déclinées dans le Plan Sénégal émergent (PSE) a permis de restaurer l’infrastructure électrique.
« Ainsi, la puissance installée est portée à 1 003 MW, la qualité de service est nettement améliorée avec une disparition des délestages et une réduction substantielle du temps de coupure pour raison technique (14 mn en fin juin 2018), le maintien d’un stock minimal de combustibles (4 à 7 jours) et l’amélioration du résultat de l’exercice de la société », explique le communiqué.
A travers le communiqué, on peut lire également que « le règlement des factures de l’Etat répond à des normes qui font que celles-ci sont toujours honorées chaque trimestre, après vérification des services compétents du ministère de l’Economie, des Finances et du Plan ».
« En outre, pour améliorer la trésorerie de SENELEC, en plus des subventions d’investissement qui lui sont accordées, l’Etat prend en charge le paiement des factures de l’éclairage public qui sont de la responsabilité des collectivités territoriales et qui s’élèvent à environ 10 milliards F CFA par an ».
Il ajoute que « la qualité de service de SENELEC, constatée ces dernières années, va se poursuivre grâce à l’ensemble des mécanismes mis en place pour assurer un approvisionnement convenable en combustible ».
« De plus, l’expertise et la compétence des agents de SENELEC, assorties à la mise aux normes des infrastructures techniques, contribuent de façon substantielle à cette quête permanente de qualité dans le service public », fait valoir la tutelle.
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