La numérisation du service public est incontournable pour les gouvernants africains, il faut s’y préparer et Microsoft donne des pistes.
Comment accompagner les dirigeants africains à incorporer les solutions numériques dans la transformation structurelles de leur économie en pleine expansion ? C’est la question à laquelle Microsoft a invité certains parmi eux à réfléchir raison pour laquelle elle a organisé une rencontre pour expliquer les enjeux de cette transformation surtout dans le secteur public.
Ainsi, grâce à la capacité pour les gouvernements, les administrations et les secteurs publics de manière générale à utiliser les nouvelles technologies pour automatiser et fluidifier les processus de fonctionnement en faveur des citoyens Microsoft veut aider les africains a mieux servir leurs citoyens. En d’autres termes la digitalisation permet aujourd’hui d’effectuer certaines tâches ou de s’acquitter de certaines obligations sans pour autant que le citoyen n’aie à se déplacer et cela est rendu possible grâce la révolution du cloud qui permet de mettre a la disposition de l’ensemble des citoyens les services qui sont offerts.
« La plus part des pays de la région ont une vision et des stratégies extrêmement clairs sur par quel chemin ils veulent passer pour en arriver a cette transformation vers le numérique .La vraie question c’est les moyens et la synergie qu’ils mettent a disposition ce service. Cette rencontre d’aujourd’hui a permis de la participation de l’ensemble des dix responsables de la sous région et les partenaires pour échanger les solutions a apporter par rapport aux attentes des Etats dans des domaine tels que la sante , l’agriculture , le transport ,le e-services etc. De plus en plus on parle d’économie numérique et cela n’est rien d’autre que l’optimisation des processus qui donne lieu a des innovations et des perspectives nouvelles », a déclaré Simon Ouattara Directeur services publics Microsoft Afrique sub-saharien.
Grâce à la numérisation, la santé et l’Etat civil vont aller de pair. L’administration pourrait disposer de données claires et précises, à jour, sur sa population et son évolution et les structures de santé du pays pourront disposer du dossier médical d’un enfant. Ainsi, procédées à son suivi médical a distance au besoin selon Samir Said.
Toutefois il faut penser à des solutions simples dont l’utilisation ne devrait pas poser de problèmes pour son utilisation et cela répond a trois aspects majeurs :
-Permettre aux citoyens d’avoir un système de sante performant
-Réduire les couts des soins des citoyens et réduire également temps que passent les médecins à chercher les dossiers des malades.
-Rendre efficient le système de sante.
Les technologies sont aujourd’hui un vecteur incontournable pour les gouvernements pour aider leurs citoyens. C’est dans ce sens que Microsoft s’inscrit dans la perspective d’offrir les meilleurs soins aux meilleurs couts au plus grands nombres de malades le plus souvent vulnérables. Donc il ne faut pas rester dans un cadre restreint mais il faut essayer de se déployer dans d’autres pays.
« D’ici à 2020, 25 % de l’économie mondiale sera numérique », a expliqué Salwa Smaoui, Directrice Gouvernements Microsoft Moyen Orient et Afrique. Suffisant pour comprendre que les pays africains doivent saisir cette opportunité qu’offre aujourd’hui Microsoft a travers ces ateliers.
« Un gouvernement ayant réussi sa transformation numérique réussira à accélérer la croissance économique, étendra l’accès à une éducation de qualité, mettra en place une meilleure prise en charge au niveau de la santé et assurera la sécurité de sa population tout en améliorant les communications bilatérales avec les citoyens, et automatisera le partage de l’information au Parlement », a-t-elle ajouté, avant de souligner qu’il « appartient aux dirigeants et aux décideurs politiques à travers le continent d’exploiter le pouvoir du Cloud, de transformer au mieux, la vie des gens. La technologie rend les choses possibles mais ce sont les décideurs et les gens qui la déploient et l’utilisent » selon toujours Salwa Smaoui.Cette rencontre a vu la participation de différents responsables Microsoft de l’Afrique et du moyen orient.
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